Tout se joue dans l’enfance et il ne sera jamais trop de le répéter encore et encore jusqu’à ce que cela imprègne les esprits et nous mène enfin vers un chemin de libération.
Se tourner vers le passé, faire ce pas immense de regarder en arrière et apaiser toutes les douleurs qui ont manqué de l’être. Un pas après l’autre, comme l’enfant qui apprend à marcher.
Nous appelons cela névrose et cela se traduits par des comportements inadaptés et de la souffrance psychique, dans des situations qu’en tant qu’adulte nous devrions gérer avec maturité et responsabilité.
Les névroses nous empêchent d’accéder à ce que nous sommes véritablement si nous manquons de les éclairer et de les transformer. Il y a si peu d’êtres humains qui incarnent un tel chemin d’accomplissement, qui se sentent en paix et profondément connectés à la vie en eux et autour d’eux.
Ne sous-estimons pas l’enfance, ne sous-estimons plus l’impact considérable de nos rôles de parents, accompagnateurs, éducateurs. Ne négligeons pas les épreuves de l’enfance et leur lot d’émotions ni ne négligeons notre propre enfance et son impact.
Apprendre à être est un sacré parcours. L’enfant est comme un diamant brut venu trouver son propre polissage pour incarner la pierre précieuse qu’il est.
Nous ne sommes pas seuls, il existe des témoins bienveillants et des outils pour nous libérer de toutes ces charges émotionnelles qui empêchent nos corps et nos âmes de s’épanouir dans la lumière de ce qu’ils sont véritablement.
Osons ce chemin aussi éprouvant soit-il, offrons ce présent aux générations futurs.
